POURQUOI LES FAUCHEUR.SES VOLONTAIRES d'OGM SONT CONCERNÉS PAR L'UTILISATION DES PUCES ÉLECTRONIQUES ET LES DÉRIVES NUMÉRIQUES?
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L'élaboration des OGM à toutes les étapes, qu'ils soient transgéniques ou résultant de mutagénèse se fait grâce à une assistance numérique. Tous les êtres vivants peuvent être concernés par les modifications génétiques : les micro-organismes, les végétaux, les animaux dont l'Homme. Les virus aussi sont largement concernés.
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L'agriculture prônée par le gouvernement en France et en Europe est basée sur le triptyque : robotique, numérique, génétique. La robotique et la génétique font aussi appel aux puces électroniques liées à la numérisation. Les FV dénoncent ce modèle agricole hors nature.
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Le génotypage (décryptage des gènes) utilise des marqueurs comme les puces à ADN et le séquençage de l'ADN à haut débit indispensable aux biotechnologies se fait par les systèmes intégrés (puces) des ordinateurs.
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Les brevets concernant les OGM portent maintenant sur les séquences d'ADN numérisées, c'est à dire virtuelles, une suite de lettres sur un écran d'ordinateur. Ils ne portent plus sur les gènes eux-mêmes, c'est à dire sur l'ADN, substance matérielle.
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La biologie de synthèse, étape ultime d'ingénierie génétique dans la lignée des OGM et très vaste domaine est dépendante du numérique et utilise les circuits intégrés et « l'intelligence » artificielle (IA). Elle consiste à fabriquer des machines «vivantes » copiées sur le modèle de la cellule (naturelle) grâce au numérique, machines qui produiront des molécules nouvelles censées remplacer celles que l'espèce humaine a épuisées sur Terre.
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Les biotechnologies à l'origine des OGM artificialisent les cellules, le cœur du vivant, tout comme l' IA artificialise nos vies de la ville à la campagne; le monde des objets connectés et des êtres connectés est le même que celui des OGM.
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Toutes ces technologies sont fondées sur un réductionnisme scientifique inacceptable du fait des connaissances actuelles sur le vivant. Tout n'est pas génétique et flux d'informations : l'épigénétique, la biologie à toute échelle, les sciences de l'écologie et de l'évolution du vivant (qui se fait depuis 3,5 milliards d'années) le prouvent.
Le numérique ne peut modéliser qu'une partie du vivant, or celui-ci est plus que ses parties: le virtuel ne peut remplacer le réel , n'en déplaise aux transhumanistes.
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Enfin, les biotechnologies (virus et bactéries GM surtout) sont liées avec les technologies numériques dans le domaine de l'industrie militaire. Elles y engloutissent un argent fou.
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De façon plus générale, nous n'oublions pas que le numérique est une industrie lourde, pas du tout dématérialisée, liée à l'extraction des matières premières et à une nouvelle forme d'esclavagisme.
En conclusion : les OGM et les puces électroniques sont indissociables et promettent un eldorado technologique, un monde industriel et artificiel qui pollue la nature et la détruit. Un monde dont nous n'avons pas besoin et qui nous asservit.
